En Grèce antique, chaque grande cité grecque avait ses jeux. À l’origine, ils étaient organisés pour célébrer les dieux du panthéon grec. Il s’agissait de festivals d’athlétisme connus sous le nom d’« Olympias », les plus connus étant ceux organisés sur le mont Olympe sous le nom de jeux olympiques. Voici les autres jeux
Considéré comme un stimulant dans l’antiquité le fenouil sauvage est à l’origine du mot marathon. Cela se passe durant les guerres médiques qui opposaient les Grecs et les Perses.
Je vous explique pourquoi : le lieu où s’est déroulé le parcours rapide du guerrier chargé de d’aller demander du renfort est une plaine où abonde cette plante. C’est le mot grec désignant le fenouil en grec ancien : μάραθον ou μάραθος « marathon » qui a donné le nom au lieu puis à la course reprenant le kilométrage effectué par le messager antique.
Un dopant antique qui était utilisé lors des jeux.
On en donnait également aux légionnaires romains avant la bataille (sous forme de macération alcoolique dans du vin semble t-il).
Le dopage existe depuis bien avant l’organisation des premiers jeux antiques.
Ainsi les chercheurs ont trouvé des traces de produits dopant de 5000 ans avant notre ère.
Le but n’était pas de gagner une quelconque compétition mais plutôt de survivre lors d’épisodes de chasse ou de guerre intenses.
Les principales drogues utilisées :
Puis plus tardivement on a utilisé :
Il semblerait que ces derniers produits permettaient surtout de lutter contre la douleur éprouvée lorsque le corps est trop sollicité.
Sources : Approche historique du dopage par Jean-François Bourg
La prêle des champs qui était bue en décoction. Ils pensaient que cela allait réduire leur rate, à l’origine du point de côté, très gênant pour les athlètes.
Maintenant, nous connaissons les propriétés de la prêle des champs sur les articulations et les muscles : propriétés anti-inflammatoires, antalgiques et reminéralisantes
Attention, la prêle des champs détruit la vitamine B1. Ne pas confondre avec une autre prêle qui est toxique : la prêle des marais.
Après cela les courbatures devraient s’éloigner…
Source : Mon herbier de santé de Maurice Mességué
Ginseng rouge, cardamone, cynorhodon, écorce d’orange sanguine, avoine, queues de cerises, maté vert, fleurs d’hibiscus
la rue (Ruta graveolens) est indiquée en cas de traumatisme sportif, de tendinites.
à diluer absolument dans de l’huile végétale (dermocaustique), deux gouttes d’huile essentielle de pin sylvestre et 2 gouttes d’huile essentielle d’épine-vinette. On applique ce mélange sur les glandes surrénales au niveau des fosses lombaires.
femmes enceintes, enfants de moins de 6 ans, effet cortison-like.
Je ne connais pas celles de l’H.E. d’épine-vinette.
macérat de cassis trois semaines avant, la semaine de la compétition étant comprise dans ces trois semaines.
macérat de bourgeons de ginkgo biloba.